C’est une vague qui n’en finit plus de déferler sur les réseaux sociaux, dans les salles de concert et sur les petits écrans du monde entier. La désormais incontournable « Hallyu » (« vague culturelle sud-coréenne ») s’est imposée en quelques années comme un puissant trouble-fête de l’hégémonie américaine en matière de pop culture. K-pop, K-dramas, jeux vidéos, cinéma…
Aucun secteur ne semble épargné par le phénomène. Pour mieux l’appréhender, Vincenzo Cicchelli et Sylvie Octobre, respectivement chercheur au Ceped de l’université de Paris et chargée d’études au département des Études de la prospective et des statistiques au Ministère de la Culture (DEPS) et chercheuse associée au Centre Max Weber viennent de publier une longue enquête sur le sujet, "K-pop – Soft power et culture globale" (éditions PUF).
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