En Afrique subsaharienne, il est difficile d’appréhender les flux migratoires qui ne sont pas enregistrés, en particulier lorsqu’il s’agit de flux illégaux et clandestins, à l’instar de la traite des femmes à des fins d’exploitation sexuelle.
Marc-Antoine Pérouse de Montclos montre dans ce working paper la nécessité de conjuguer des approches quantitatives et qualitatives pour comprendre les caractéristiques d’un commerce florissant qui fait appel aux croyances en la sorcellerie.
Posté le 27 novembre 2012