Le Ceped dans les médias

Marc-Antoine Pérouse de Montclos - La France dans la tourmente au Sahel

Sahel : l’armée française s’ensable

Huit ans après son arrivée au Sahel, avec les opérations Serval puis Barkhane, la France risque l’enlisement dans sa lutte contre les groupes terroristes.

La France dans la tourmente au Sahel

Au bout de huit ans, l’intervention militaire de la France dans cinq pays francophones du Sahel n’a pas permis d’éradiquer la menace djihadiste. La poursuite de l’opération Barkhane soulève en conséquence de nombreux doutes.

Barkhane, le temps de la remise en cause

La menace djihadiste s’est encore étendue au Sahel, malgré l’intervention militaire française commencée il y a huit ans, en janvier 2013. La France apparaît isolée en Afrique et ne parvient pas à convaincre ses alliés, européens et américains, du bien-fondé de son action dans la région.

La France au Sahel, il est temps de partir

Le pari de lutter à la fois contre la menace terroriste sans se substituer à des gouvernements souvent corrompus et autoritaires est une mission impossible. Pourquoi ne pas passer le relais aux Casques bleus ainsi qu’aux acteurs du développement ?

Soldats tués au Mali : la France peut-elle se désengager du Sahel ?

La mort de deux militaires samedi relance une nouvelle fois le débat sur l’engagement français dans la région. Cette question reste en suspens, à quelques semaines d’un sommet attendu avec les pays du G5 Sahel.

Mali : Barkhane de nouveau en deuil et en question

Ce soir, direction le Sahel et l’opération Barkhane où deux soldats français ont encore trouvé la mort ce week-end. Et des questions sur le sens de notre présence, sur les victoires et les échecs de barkhane. Que se passerait-il si nous partions ? Que saurons-nous éviter en restant ?

La France vers une réduction des effectifs de Barkhane au Sahel

Dans le cadre de l’opération Barkhane, la France entend réduire le nombre de l’effectif de ses troupes présentes au Sahel. Cette déclaration a été faite, lundi, par la ministre des Armées françaises, Florence Parly, dans un entretien accordé au journal le Parisien. « Un renfort, par définition, c’est temporaire »,