
Si un jour nos parents ne sont plus en mesure de vivre chez eux, on les place dans une maison de retraite. Mais qui s’en occupe à notre place ? Des femmes payées pour les laver et les nourrir, mais pas seulement... car il y a aussi l’attention, la présence, le sourire. Pascale Molinier, professeure de psychologie sociale, pose des questions dérangeantes : peut-on sous-traiter la tendresse dispensée à nos proches ?
Pourquoi paye-t-on si mal celles qui s’en occupent ?
Posté le 9 décembre 2025