La molécule employée jusqu’ici pour le traitement préventif du VIH – le ténofovir en prise orale quotidienne – permet également de traiter l’hépatite B. Ce bénéfice collatéral de la prophylaxie préexposition au VIH (PrEP) se révèle précieux dans le contexte subsaharien où la prévalence de l’hépatite B 1 est élevée et où son traitement reste peu accessible 2 . Ainsi, les personnes recevant la PrEP, car elles sont très exposées au VIH du fait de leurs pratiques sexuelles, et qui sont également positives à l’hépatite B ne voient pas celle-ci évoluer vers un cancer du foie.
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Posté le 20 septembre 2024