EDUAI Éducation arabo-islamique au Sahel

Responsable scientifique

Hamidou DIA

Axe de recherche : Axe 3 - Éducation et Savoirs au Sud

Partenariats dans les pays de recherche

Partenariat avec memorandum de collaboration

RAPPORT DE SYNTHESE DES RESULTATS DU PROJET EDUAI

Burkina Faso : Atelier de la recherche sur l’éducation au Burkina, INSS, Institut national des sciences des sociétés et CNRST, Centre national de la recherche scientifique et technologique

Mali : Université des sciences juridiques et politiques de Bamako, CEDA, Centre d’études pour le développement en Afrique

Mauritanie : IMRS, Institut mauritanien de recherche scientifique, Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université de Nouakchott, et EDUPAT (Éducation et Patrimoine).

Niger :Institut de recherches en sciences humaines, Niamey

Sénégal : Université Cheikh Anta Diop de Dakar

Tchad : Université catholique d’Afrique centrale

Les institutions d’éducation islamique au Sahel : entre développement communautaire privé et desseins hégémoniques des systèmes scolaires étatiques

Chercheure associée au Ceped participant au projet

Aïssata IGODOE

Membres extérieurs au Ceped participant au projet

D^r Maxime COMPAORÉ, AREB (Atelier de la recherche sur l’éducation au Burkina), INSS (Institut national des sciences des sociétés) et CNRST (Centre national de la recherche scientifique et technologique)

D^r Kadari TRAORÉ, Université des sciences juridiques et politiques de Bamako, CEDA (Centre d’études pour le développement en Afrique)

P^r Elemine MOHAMED BABA, IMRS (Institut mauritanien de recherche scientifique), Faculté des lettres et sciences humaines de l’Université de Nouakchott, et EDUPAT (Éducation et Patrimoine)

D^r Allassane SALAO (Institut de recherches en sciences humaines), Niamey

Fulbert NGODJI, avec D^r Anata MAWATA AUGUSTA, Université catholique d’Afrique centrale

D^r Safiétou DIACK, Campus International UCAD-IRD de Hann

Financement

Résumé

Ce programme de recherche vise à renouveler les études sur les systèmes scolaires et académiques africains, en portant la focale sur un type d’offre polarisant de nombreux enfants et jeunes – souvent non pris en compte dans l’établissement des statistiques sur les effectifs des apprenants.
L’éducation arabo-islamique demeure peu investie par les sciences sociales, en particulier francophones. Les équipes mobilisées par ce projet à travers six pays s’attachent par conséquent à combler ce vide, en documentant cette offre éducative sur la longue durée, en étudiant les processus d’élaboration des politiques publiques en matière d’éducation religieuse, enfin en questionnant l’économie et le financement des institutions qui proposent une formation à base confessionnelle musulmane.
La recherche prête attention aux dynamiques sociales, politiques et géopolitiques globales en cours au Sahel ; elles permettent en effet de mettre en contexte l’éducation arabo-islamique dans ces pays.