Publications des membres du Ceped

2009

Article de colloque
Thèse
  • Balde Alhassane (2009) « Éducation, famille et pauvreté en Guinée rurale : sous-préfecture de Kanfarandé, Basse Guinée », Thèse de doctorat de démographie, Paris : Université Paris Descartes, 326+87 p.
  • Desgrées du Loû Annabel (2009) « La démographie, une discipline de santé publique ? », Habilitation à diriger des recherches, Paris : Université Paris Descartes, 147 p.
  • Dia Hamidou (2009) « Espaces domestiques, espaces villageois, espaces urbains multi-situés : Cinquante ans de migrations à partir de la moyenne vallée du fleuve Sénégal (1960-2010) », Thèse de doctorat en sociologie, Paris : Université Paris Descartes, 587 p.

  • Flahaux Marie-Laurence (2009) « Les migrations de retour et la réinsertion des Sénégalais dans leur pays d’origine », Mémoire de master en sciences de la population, Louvain : Université Catholique de Louvain, 114 p. http://www.ined.fr/fichier/t_telechargement/34510/telechargement_fichier_fr_m.moire.flahaux.pdf.
    Résumé : Abstract Theoretical and empirical literature of international migration is scarce about return migrations, but this topic is important for the origin countries. The returns of migrants can generate there beneficial effects in particular across the transfer of knowledge acquired abroad and the development of economical activities. In spite of their importance, the issue of the return of African migrants as well as the problem of their future after the return are not known very well. Nevertheless, a better knowledge of this topic is essential for the elaboration of suitable politics of economical and social reinsertion by international and governmental organisms which support the return of migrants. This research aims at studying the returns and the reinsertion of return migrants in Senegal from original quantitative data‟s collected within the context of an international project on migrations between Senegal and Europe (MAFE-Senegal) and qualitative interviews realised beside migrants back in Dakar. First we question ourselves about the factors which determine the return of Senegalese migrants and about the reasons of return. Then we try to know what makes some reinsertions difficult for migrants who come back to Senegal. Finally, we emphasize on the organization of the return. Do the circumstances which incite people to return influence the good or less good development of the reinsertion in Senegal? Are the social, economical and human resources acquired abroad useful for them in the origin country? Résumé Bien qu‟elles soient peu abordées dans la littérature théorique et empirique des migrations internationales, les migrations de retour en Afrique constituent un sujet important pour les pays d‟origine. Les retours de migrants peuvent y engendrer des effets bénéfiques, notamment à travers les transferts de connaissances acquises à l‟étranger et le développement d‟activités économiques. Malgré leur importance, la question des retours des migrants africains ainsi que celle de leur devenir après le retour au pays restent très mal connues. Pourtant, une bonne connaissance du sujet est essentielle pour l‟élaboration de politiques de réinsertion économique et sociale adéquates par les organismes internationaux et gouvernementaux qui soutiennent le retour des migrants. Cette recherche vise à étudier les retours et la réinsertion des migrants de retour au Sénégal à partir de données quantitatives originales collectées dans le cadre d‟un projet international sur les migrations entre le Sénégal et l‟Europe (MAFE-Sénégal) et d‟entretiens qualitatifs réalisés à Dakar auprès de migrants de retour. D‟abord, nous nous interrogeons sur les facteurs qui déterminent le retour des migrants sénégalais et sur les raisons du retour. Ensuite, nous cherchons à savoir de quoi dépendent les réinsertions qui s‟avèrent difficiles pour les migrants qui reviennent au Sénégal. Enfin, l‟accent est mis sur l‟organisation du retour ; il s‟agit de savoir si les circonstances qui provoquent le retour des migrants influencent le plus ou moins bon déroulement de la réinsertion au Sénégal, et si les ressources mobilisées à l‟étranger leur sont utiles dans le pays d‟origine.
  • Gérard Étienne (2009) « Questions d'Ecole, questions de savoirs. Constructions et usages socio-politiques des savoirs au Sud » », Habilitation à diriger des recherches, Paris : Université Sorbonne Paris 1, 186 p.
  • Gérard Etienne (2009) « Questions d'Ecole, questions de savoirs. Constructions et usages socio-politiques des savoirs au Sud », Habilitation à diriger des recherches, Paris : Université Sorbonne Paris 1, 186 p.
  • Quet Mathieu (2009) « Politiques du savoir. Une approche communicationnelle des rapports entre sciences, technologies et participation en France (1966-1983) », Thèse, Paris : Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales, 416 p.
  • Tchetgnia Lucas (2009) « Les jeunes Camerounais et le sida : sociologie d’une non-protection face à la maladie », Thèse de doctorat en sociologie, Paris : Université Paris Descartes, 369 p.
Article de magazine

  • Charbit Yves (2009) « Le CEPED : Recherche, Formation, Valorisation », La Chronique du CEPED, 56, p. 1-4. http://www.ceped.org/IMG/pdf/56.pdf.
    Résumé : Cette chronique se distingue des chroniques habituelles du CEPED en ce qu’elle apporte des informations sur la nouvelle Unité mixte de recherche (UMR CEPED) qui a été créée en 2008 : structure et organisation, positionnement scientifique et activités concrètes des équipes de recherche et du Bureau d’Appui à la Recherche, politique de formation. Par rapport à l’ancien groupement d’intérêt scientifique (GIS-CEPED), le fait majeur est la place centrale accordée à la recherche, appuyée sur un cadre théorique novateur.

  • Charbit Yves (2009) « The Centre Population et Développement », La Chronique du CEPED, 56, p. 1-4. http://www.ceped.org/IMG/pdf/56-anglais.pdf.
    Résumé : This bulletin presents an overview of the new CEPED research centre, which opened in 2008. It provides details of its new organization, presents its research orientation, the activities of the three research teams and of its research support service, and outlines CEPED’s training policy. In contrast with its predecessor (GIS-CEPED), the major distinguishing feature is a central focus on research using an innovative theoretical framework.
  • Chruscinska Anna (2009) « W czterech ścianach. Zmiana znaczenia ról społecznych u Kabylów żyjących we Francji [Changement des rôles sociaux chez les Kabyles en France] », Barbarzyńca, 3-4, p. 16-17.
  • Copans Jean (2009) « Amartya Sen : ce que peuvent les pauvres », Sciences humaines, 206, p. 42-43.
  • Denis Eric et Moriconi-Ebrard François (2009) « Urban Growth in West Africa from Explosion to Proliferation », La Chronique du CEPED, 57, p. 6.
    Résumé : What do we know about urbanisation in Africa? The classification systems of urban/rural areas differ from one country to another. As a consequence, international comparisons of urbanisation indicators or historical analyses of urban growth are difficult to establish. Urbanisation is indeed increasing, but how and where exactly? More in metropolises or in small towns? How many urban agglomerations are there in each country? The first part of the Africapolis programme provides new evidence with respect to West Africa. The Africapolis programme was commissioned by the Agence Française de Développement (AFD) to measure urbanisation and its patterns since the 1950s and project the results to 2020 more accurately than previous work on urbanisation in West Africa. It is part of a global research programme, e-Geopolis, supported by the Agence Nationale de la Recherche (ANR) since 2008. The aim of e-Geopolis is to establish an international online database on the development of urbanisation, using a harmonised classification of rural/urban areas applied to all countries.
  • Denis Eric et Moriconi-Ebrard François (2009) « La croissance urbaine en Afrique de l'Ouest : de l'explosion à la prolifération », La Chronique du CEPED, 57, p. 1-4.
    Résumé : Que savons-nous sur l’urbanisation de l’Afrique ? La variabilité de la définition de l’urbain dans chaque pays rend difficile toute comparaison internationale des indicateurs d’urbanisation et toute analyse historique de la croissance de ce phénomène. Certes l’urbanisation croît, mais de quelle manière et où précisément ? Plutôt par les grandes métropoles ou par les petites villes ? Combien d'agglomérations urbaines y a-t-il dans chaque pays ? La première tranche du programme Africapolis apporte de nouveaux éléments à ce sujet concernant l’Afrique de l’Ouest. Commandé par l’Agence Française de Développement (AFD), Africapolis donne une mesure de l’urbanisation et de ses formes depuis les années 1950, et projette ses résultats jusqu’à 2020, de manière plus précise que les travaux précédents sur l’urbanisation en Afrique de l’Ouest. Ce projet s’inscrit dans un programme de recherche mondial, e-Geopolis, soutenu depuis 2008 par l’Agence Nationale de la Recherche (ANR). e-Geopolis a pour objectif la mise en ligne d’une base de données internationale sur l’évolution de l’urbanisation, en partant d'une définition harmonisée de l’urbain appliquée à tous les pays.
  • Golaz Valérie (2009) « Improving access to and use of national demographic surveys and population censuses in African countries: One of the objectives of the ValDemo programme », La Chronique du CEPED, 57, p. 6.

  • Golaz Valérie (2009) « Renforcer l’accès et l’utilisation des enquêtes démographiques nationales et des recensements de la population dans les pays africains : un objectif de ValDemo », La Chronique du CEPED, 57, p. 6. http://www.ceped.org/IMG/pdf/57-2.pdf.

  • Hadj Laure (2009) « Wallis et Futuna : recensement de la population 2008 – 10% d'habitants en moins depuis 2003 », Insee Première, 1251, juillet, p. 4. http://www.insee.fr/fr/ffc/ipweb/ip1251/ip1251.pdf.
    Résumé : En 2008, 13 445 habitants vivent à Wallis et Futuna. Cet archipel situé à 2 800 kilomètres de la Polynésie française, 2 100 kilomètres de la Nouvelle-Calédonie et 20 000 kilomètres de Paris, est le plus petit territoire français du Pacifique. En cinq ans, la forte émigration et le ralentissement de la natalité ont fait chuter la population de 1 500 personnes. Les nouveaux arrivants sont peu nombreux et la population vieillit. La modernisation de l’habitat se poursuit. Le taux d’emploi reste faible.

  • Ladier-Fouladi Marie (2009) « La lente transition de la fécondité dans les républiques d’Asie Centrale », La Chronique du CEPED, 60, p. 1-4. http://www.ceped.org/IMG/pdf/60.pdf.
    Résumé : En dépit de leur intégration dans le monde soviétique pendant plus d’un demi-siècle, les républiques d’Asie centrale ont conservé leur propre logique de fonctionnement fondée principalement sur les traditions et coutumes très anciennes. De sorte que dans ces républiques la transition de la fécondité s’est déclenchée tardivement. L’islam a été très souvent évoqué comme facteur explicatif de la résistance à la baisse de la fécondité. Mais la transition rapide de la fécondité en Iran et en Algérie a remis définitivement en cause ce genre d’argument. L’expérience iranienne notamment a révélé qu’en dépit d’un contexte politique et juridique défavorable la société s’est ouverte aux changements proposés par la modernité en laissant circuler les nouvelles normes et valeurs qui ont remplacé lentement le substrat traditionnel et fini par modifier les rapports sociaux aussi bien que le statut de la femme. C’est dans cette optique qu’il faut également s’interroger sur l’évolution de la fécondité dans les républiques centrasiatiques.

  • Larmarange Joseph (2009) « Afrique subsaharienne : Quel outil de mesure du VIH ? », Transversal, 48, p. 29-30. http://www.sidaction.org/ewb_pages/t/transversal_48.php.
    Résumé : Selon le rapport 2008 de l’Onusida sur l’épidémie mondiale de sida, 33 millions de personnes dans le monde auraient été infectées par le VIH fin 2007, dont 22 millions en Afrique subsaharienne. Depuis 1998, ces estimations, révisées tous les deux ans, ont fortement varié : résultat différentes méthodes de mesure qui s’élaborent au fil du temps.

  • Larmarange Joseph (2009) « Comment les prévalences du VIH sont-elles estimées en Afrique subsaharienne ? », La Chronique du CEPED, 58, p. 1-4. http://www.ceped.org/?Comment-les-prevalences-du-VIH.
    Résumé : Tous les deux ans, le programme commun des Nations unies sur le VIH/Sida (ONUSIDA) publie des estimations détaillées du nombre de personnes infectées par le VIH. Dans la dernière édition du rapport,le nombre de personnes (adultes et enfants) infectées par le VIH dans le monde est estimé à 33 millions en 2007, dont 22 millions en Afrique subsaharienne. Cette estimation, largement reprise par les médias et les acteurs de la lutte contre le Sida, a été révisée à maintes reprises ces dernières années, donnant l’impression que le nombre de personnes infectées a diminué alors qu’en réalité il a augmenté. Ces révisions successives ont semé le doute sur la qualité des estimations produites. Petit retour sur l’évolution des sources et des techniques.

  • Larzillière Pénélope (2009) « Militantisme palestinien : un changement de répertoire d'action », Sciences au Sud, 51, p. 16. http://www.ur105.ird.fr/IMG/pdf/sciences_au_sud_militantisme_palestinien-2.pdf.

  • Lecestre-Rollier Béatrice (2009) « Structures familiales et mobilité : un regard anthropologique depuis le Haut Atlas marocain », La Chronique du CEPED, 59, p. 1-4. http://www.ceped.org/IMG/pdf/59.pdf.
    Résumé : Le CEPED, en collaboration avec l’ORMES (Observatoire Régional des Migrations − Espaces et Sociétés), a organisé du 27 au 29 octobre 2008 un séminaire international intitulé Les migrations marocaines, nouvelles pratiques, nouvelles approches, à l’Université Ibn Zohr d’Agadir. Financé par l’AFD, cet atelier avait pour objectif d’établir un bilan des recherches conduites au Maroc sur les déterminants et les conséquences des migrations internationales. Outre les institutions impliquées dans la recherche et l’enseignement supérieur, desacteurs institutionnels nationaux et internationaux, des représentants du monde associatif ont été invités. Ils ont souligné la diversité des problématiques et des approches mobilisées, la pluralité des disciplines impliquées et lanécessité de croiser les regards. Les acteurs institutionnels et associatifs ont exprimé le souhait de disposer de données statistiques précises et actualisées quant aux flux, aux stocks et aux profils des migrants afin d’orienter leurs actions en matière de développement. Si ce travail de mesure est indispensable, la complexification de la situation migratoire du Maroc au cours des dernières années − ce pays passant de la situation d’un pays d’émigration à celle d’un pays de transit et d’immigration avec l’installation de retraités et l’accueil de réfugiés − implique un approfondissement des analyses conduites en sciences sociales. Le travail de recherche,mené par Béatrice Lecestre-Rollier dans le Haut Atlas et présenté lors de ce séminaire, constitue un exemple éclairant de l’apport de l’anthropologie à la compréhension des déterminants des migrations internationales. Il montre que l’analyse des dynamiques migratoires ne peut faire l’économie d’une étude approfondie de la société d’origine prise dans sa totalité et sa complexité et qu’elle permet de relativiser les explications causales strictement économiques des départs en émigration.
  • Lessault David et Beauchemin Cris (2009) « Les migrations internationales d’Afrique subsaharienne : Ni exode, ni invasion », Pro-Asiles, la Revue de France terre d’asile, 19, p. 57-60.

  • Mick Carola (2009) « Wie es der Zufall so will.. », TDHL Bulletin, Novembre 2009 (II), p. 7-8. http://terredeshommes.webs.com/pdfs/Bulletin%20TDHL%202009_II.pdf.
  • Pérouse de Montclos Marc-Antoine (2009) « Afrique Noire : l'héritage colonial de la planification urbaine », Urbanisme : Villes, Sociétés, Cultures, 369, p. 29-34.
    Mots-clés : COLONISATION, CROISSANCE URBAINE, DISPARITE REGIONALE, DONNEES STATISTIQUES, HISTOIRE URBAINE, PLANIFICATION URBAINE, RESEAU URBAIN, VILLE.
  • Véron Jacques (2009) « La folle course à l’urbanisation », L’Atlas des civilisations, Hors série de "La Vie" et "Le Monde", p. 158-159.
  • Véron Jacques et Héran François (2009) « L’Allemagne vingt ans après. Chute du mur et convergence démographique », Fiche acutalité (INED), 9, p. 1-3.
Rapport
  • Arvanitis Rigas (2009) Guidelines for innovation indicators. Report fo the Digital platform of the Euro-Mediterranean Innovation Space (EMIS), Bondy (France) : IRD. Report for the Workpackage 4 of the MIRA project.
    Mots-clés : INDICATEURS, INNOVATION, MIRA.
    Note Note
    The following values have no corresponding Zotero field:<br/>Label: Rapport de recherche<br/>RP - MM <br/>
    Note Note
    <p>MM</p>
  • Arvanitis Rigas, Eckert Denis, Grossetti Michel, Grelon André et Vinck Dominique (2009) GEOSCIENCE : Science locale, nationale, mondiale en transformation. Pour une socio-géographie des activités et des institutions scientifiques académiques, Programme ANR Sciences et société.
    Note Note
    The following values have no corresponding Zotero field:<br/>Label: Projet de recherche<br/>

  • Compaoré Maxime et Pilon Marc (2009) Les cours du soir au Burkina Faso, Document préparé pour le Rapport mondial de suivi sur l’éducation pour tous 2010 “Atteindre les marginalisés” (2010/ED/EFA/MRT/PI/27), Unesco, 19 p. http://unesdoc.unesco.org/images/0018/001866/186618f.pdf.

  • Desgrées du Loû Annabel, Brou Hermann, Tijou Traoré Annick, Djohan Gérard, Becquet Renaud, Leroy Valériane et ANRS 1201/1202/1253 Ditrame Plus Study Group (2009) From prenatal HIV testing of the mother to prevention of sexual HIV transmission within the couple, Working Papers du CEPED (1), Paris : CEPED, 18 p. http://www.ceped.org/wp.
    Résumé : The first step of prevention of mother-to-child HIV-transmission (PMTCT) programmes is offering HIV couselling and testing to pregnant women. In developing countries where HIV-testing remains rare, it represents a unique opportunity for many women to learn their own HIV status. This prenatal HIV testing is not only the entry point to prevention of mother-to-child HIV transmission, but also an occasion for women to sensitize their male partner to sexual risks. We explore here if these women, HIV-tested as mothers, apply the prevention recommendations they also receive as women. In the Ditrame Plus PMTCT program in Abidjan, Côte d’Ivoire, two cohorts of women (475 HIV-infected women and 400 HIV-negative women) were followed-up two years after the pregnancy when they were offered prenatal HIV testing. In each cohort, we compared the proportion of women who communicated with their regular partner on sexual risks, prior to and after prenatal HIV testing. We analysed sociodemographic factors related to this communication. We measured two potential conjugal outcomes of women HIV testing: the level of condom use at sex resumption after delivery and the risk of union break-up. Prenatal HIV testing increased conjugal communication regarding sexual risks, whatever the woman serostatus. This communication was less frequent for women in polygamous union or not residing with their partner. Around 30% of women systematically used condoms at sex resumption. Among HIV infected ones, conjugal talk on sexual risks was related to improved condom use. After HIV testing, HIV-infected women separated more from their partner than HIV-uninfected women, despite very few negative reactions from the notified partners. In conclusion, offering prenatal HIV counselling and testing is an efficient tool to sensitize women and their partners to HIV prevention. But sexual prevention in a conjugal context remains difficult and need to be specifically adressed.
  • Dia Hamidou (2009) Les transferts d'argent des migrants de la vallée du fleuve Sénégal. Processus d'affectation et impact sur la région d'origine, in "Migrations internationales, recompositions territoriales et développement", sous la coordination d'Adamou Moumouni, Document de synthèse des projets du programme FSP 2003-74, Paris : Ministère des Affaires Etrangères, IRD, 11 p.

  • Golaz Valérie, Gubry Françoise et Gendreau Francis (2009) Recent trends concerning the accessibility of African population censuses to the academic community: A user’s perspective, Working Papers du CEPED (4), Paris : CEPED, 14 p. http://www.ceped.org/wp.
    Résumé : Il existe un nombre important de recensements réalisés en Afrique au cours du dernier demi‐siècle. Alors que les données de recensement demeurent peu exploitées, mal connues et difficiles d’accès, différents projets sont en cours, qui ont pour objectif commun de rendre ces données accessibles et en cela, de favoriser leur valorisation. Cette communication a pour objectif de dresser un panorama de l’avancée de la mise à disposition des données censitaires concernant l’Afrique de l’Ouest. Trois niveaux d’informations seront distingués. Tout d’abord, l’accès aux métadonnées est un enjeu majeur pour une bonne utilisation des données et permet une analyse secondaire des premiers résultats produits par les Instituts de statistique. Certains projets, comme IPUMS‐International, mettent à disposition les micro‐données et les métadonnées de recensement de certains pays, en travaillant à l’harmonisation des variables fournies et à la construction de variables supplémentaires similaires pour tous les pays. Cependant, dans l’état actuel de ce projet, la spatialisation de l’information a été perdue pour des raisons de maintien de l’anonymat. Enfin, l’accès aux micro‐données s’étend aussi, en fonction des modalités de la politique de diffusion adoptée dans chaque pays, ce qui permet alors des analyses approfondies, éventuellement spatialisées, correspondant aux besoins des chercheurs. Cette mise à disposition est complétée dans certains cas par la possibilité d’effectuer en ligne sur les sites des Instituts de statistiques les traitements les plus simples grâce au logiciel Redatam, ce qui correspond à la demande publique la plus courante. Mais indépendamment des efforts de documentation des variables disponibles, les définitions sous‐jacentes aux opérations de recensement conditionnent entièrement les résultats obtenus, comme par exemple la définition de l’urbain mais aussi celle du ménage, et elles restent très variables selon l’État et l’époque. Ainsi, afin de favoriser dans le futur la valorisation des recensements africains, il s’avère plus que jamais nécessaire que les États prennent conscience de ce problème et s’accordent sur une harmonisation minimale qui permette de développer des analyses comparatives sans perdre les spécificités locales.
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